Laurent Lamothe c'est du passé ! Qui va le remplacer et comment ?

Laurent Salvador Lamothe en tant que Premier Ministre de la république d'Haiti c'est du passé, un cadavre politique en décomposition a déclaré un membre de l'opposition véritable et ceci même s'il continue momentanément à jouir des privilèges de la fonction en attendant l'arrivée de son remplaçant. Mais c'est du passé, comme dans un rêve cauchemardesque de mauvais goût avec un réveil en sursaut. Le premier ministre le plus corrompu de l'histoire du pays aura maintenant toute sa vie pour répondre de ses forfaits, détournements de fonds certains disent même vols, les violations des droits de la personne, les arrestations illégales et l'emprisonnement de plus de 46 prisonniers politiques.

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Combattre l’occupation et les « bandits légaux »

 Leslie Péan, 1er décembre 2014  ---  L’équipe Martelly, qui s’est donnée par la voix du Président lui-même le titre de « bandits légaux Â» est confrontée à une grave crise de confiance. Martelly a perdu toute légitimité en sabordant les institutions clés de notre fragile démocratie, notamment l’institution électorale. Dès son arrivée au pouvoir en mai 2011, au terme des élections frauduleuses de novembre 2010, Martelly fait faire au pays un pas en arrière chaque jour qui passe. Avec ce côté enfantin qui le caractérise, le président Martelly fonce tête baissée dans les pires aventures, assuré que les forces d’occupation de la MINUSTAH sont la garantie de la pérennité de son pouvoir. Dans cette conjoncture d’un pays ayant perdu sa souveraineté, il importe de tirer les leçons des luttes d’hier afin de forger un avenir différent de celui de l’occupation militaire que nous vivons depuis des décennies.

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Haiti: Quand le Diable et le bon Dieu se mélangent

par Evens Dubois --- L'ambassade américaine convoque l'Opposition au régime fantoche de Michel Martelly le 2 Décembre prochain dans un endroit " neutre", les locaux de la Fusion des Socio -Démocrates, selon une note diffuse sur les réseaux sociaux et Tout Haiti (voir ici) (NDLR). La teneur de cette convocation n'a pas été dévoilée .Tout le monde pense qu'il s'agit d'une rencontre exploratoire a la venue du Secrétaire d'Etat américain John Kerry dix jours plus tard. Comme c'est souvent le cas, Mme Pamela White leur donnera des directives sur un éventuel partage du gâteau. La Commission de Michel Martelly est mort-née. Elle sera la voix du Fantoche.

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Dilatwa pi rèd: Martelly crée une commission majoritairement avec ses alliés pour faire passer le temps et se débarrasser de Laurent Lamothe

Regarder bien la composition de la commission présidentielle (voir ici ) et vous vous rendrez compte que Michel Martelly, le bandit légal, coincé comme un rat, poursuit deux objectifs fondamentaux. Le premier consiste à faire diminuer la pression internationale et la pression de la rue qui commencent à montrer la voie de la sortie anticipée à son régime et comme deuxième objectif Michel Martelly joue au " Ponce Pilate " des temps modernes pour pouvoir dire à Laurent Lamothe, qui le tient par les couilles d'après des informations dignes de foi, c'est n'est pas moi c'est la recommandation de la commission qui demande votre départ, ou démission comme Premier Ministre, car d'après la constitution le président n'a pas le pouvoir de révoquer le premier Ministre.

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Le cas " Lavalas "

Tout Haiti vous invite à lire un petit edito de Roberson Alphonse dont le titre original est " cas lavalas "

Cas Lavalas

La perception courante de « lavalas » renvoie à un torrent impétueux qui charrie tout sur son passage. D'un point de vue symbolique et politique, lavalas met en avant la puissance et surtout la force de tout projet collectif. Pour les lavalassiens, le slogan "Yon sel nou feb, ansan m nou fò, ansanm ansanm nou se lavalas » illustre bien tout cela. En 1990, la mouvance lavalas, un agrégat d'hommes, de femmes de gauche, d'anciens opposants à la dictature des Duvalier, critiques envers l'oligarchie, avait présenté un projet politique en trois mots : justice, transparence et participation. Au pied du mur, après le 16 décembre 1990, les années lavalas au pouvoir ont été, à certains égards, une reproduction des travers des régimes précédents.

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