Martelly a déclaré avoir crée 400,000 jobs en Haiti, introuvables dans le pays donc à l’oral

Ranmase:  "Les chiffres de l'emploi dans le public et dans le privé de toute notre histoire prouvent clairement que le président Martelly a menti pour ses 400.000 emplois créés", Gérald Germain

Avec son calme habituel, l'ancien ministre des Affaires Sociales du président René Préval, avec des données claires sorties des archives de l'Etat, a démenti les propos du président Martelly qui, cette semaine, en marge de son conseil des ministres, avait indiqué qu'il a créé, dans le pays, depuis son investiture, 400.000 emplois.

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Finalement, le conseil électoral, et la « provocation et demie »…

Le spectre grimaçant d'une aggravation de la crise politique

Le conseil électoral est finalement constitué. Nous sommes en avril. Qu'est-ce qui va être fait pour que des élections se tiennent véritablement à la fin de l'année ? C'est la question dont la réponse permettra enfin de savoir si l'Exécutif veut ou ne veut vraiment pas que des élections se tiennent cette année. Car, dans un cas comme dans l'autre, mille moyens existent pour aboutir ou non à des résultats.

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Ranmase: Laurent Lamothe est considéré comme un escroc au Sénégal ses principaux associés dans sa compagnie GVoice sont en prison et lui-même se trouve sur une liste de personnalités recherchées dixit Me Newton

Oesner H. Fevry, Newton Luois St- Juste, Sadrac Dieudonne, Jean Monard Metellus, Kedlaire Augustin, Camille Edouard

"Comme une poule gavée, Martelly nous suffoque d'une inflation communicationnelle", Me Camille Junior Edouard

Ancien membre du cabinet du premier ministre Garry Conille et ancien Coordonnateur de la Commission Nationale de Lutte contre la Drogue (CONALD), le juriste s'est indigné devant l'ampleur et la grande mobilisation déployée par l'Administration Martelly-Lamothe pour "intoxiquer" l'opinion publique avec une campagne intolérable de propagande "comme si cette publicité politique subliminale pouvait remplacer l'inaction et l'incompétence flagrante de ce pouvoir".

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Leslie Pean: Retour sur l’article « Économie d’une langue et langue d’une économie » (2ème partie)

La critique doit être totale, avec irrespect s'il le faut, pour enlever toute possibilité de confort trompeur aux lecteurs et lectrices qui vivent leur mal dans la complicité.

Par Leslie Péan, 23 mars 2013  ---- Cette bataille contient des risques et il importe de les assumer. C'est une manière comme une autre de dénoncer la fausse innocence dans la perpétuation du brigandage. Il est possible d'exprimer sa solidarité avec tous ceux et celles qui veulent mettre fin au mal séculaire qui étreint les Haïtiens, sans les flatter surtout si on n'est pas chercheur de pouvoir. L'observation sérieuse de la réalité, l'analyse des comportements des dominants et des dominés, la compréhension de leurs motivations profondes ne peuvent aboutir qu'à une explication simple : un concours de fausses et de vraies complaisances maintient la société dans un équilibre catastrophique. Le mal n'est pas uniquement au dehors mais aussi au dedans de nous. L'idéologie haïtienne du « simulacre » dénoncée par Fernand Hibbert a atteint un point de pourriture intolérable. La puissance des dominants repose sur la faiblesse des dominés et, cette faiblesse, sous un discours mièvre sert à camoufler la dérive d'une culture de mystification avec ou sans le créole haïtien.

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Laurent Lamothe en Côte d'Ivoire, Global Voice n'a pas attéri

Norluck Dorange --- Il parait que le gouvernement ivoirien ait tout manoeuvré afin d'en faire une affaire moyenne d'Etat, la visite de Laurent Lamothe aux bords la lagune Ebrié, le surnom d'Abidjan. Ce n'est trop dire que le type est très connu dans certaines capitales d'Afrique comme un corrupteur invétéré, un brasseur cynique dont le soit-disant savoir technologique, n'est autre que des pratiques de haute voltige visant à gruger les populations des pays sous-développés d'Afrique. Au nom d'Haiti dont il a escamoté le pouvoir politique à l'occasion de l'accession d'une équipe qui s'est auto-baptisée Tet Kalé, mais en réalité Kalé Tèt, seul Abidjan, au coeur d'une pagaille politique semblable à la nôtre aujourd'hui, déroulerait le tapis rouge pour celui que l'on considère dans les capitales africaines comme un jeune loup aux dents longues.

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